Question
2 juillet
- Allemand
-
Français (France)
Question à propos de Français (France)
Veuillez corriger et améliorer mon essai en français s'il vous plait ? La gentillesse, que j’éprouvais ici, me rend heureux, merci. Veuillez moi excuser pour la longueur du texte.
Voici l'histoire de la petite Hermine étrangère à Paris, épisode 11, en cherchant un poste d’apprenti au début du XXe siècle.
Cette première nuit au pensionnat, je dormais comme une pierre. Je me suis réveillé au dortoir, à cause des rires et de plaisanteries des filles près de moi. Tout d'abord, j'ai du me rappeler où j’étais. J'étais en retard, mon beau-père sera me chercher après le petit-déjeuner, pour que je puisse me présenter à mon poste d'apprenti. Je n’étais arrivé au pensionnat que la veille, ce qui devait être pour moi une résidence pendant des années. Mon beau-père était venu d’Allemagne avec moi et avait également réglé les finances.
Un long chemin nous conduisit de Montmartre à un atelier de couture de Bechoff-David-Cie. Ce n’était pas la maison de couture au 7 avenue de l’Opéra, mais les ateliers où ils y avaient des couturières sur des nombreuses machines à coudre. Un des maîtres tailleurs nous a accueilli et a présenté mon contrat d’apprentissage au beau-père. Ensuite, il aura été temps de se séparer définitivement. Mon beau-père avait tout arrangé et était déjà mentalement sur la route quand on m’a présenté au directrice, qui m’a mise un balai, pour je devais ramasser les fils et les goussets de tissu. Adieu beau-père: „Salutations à Vienne et à mes proches!“.
Heureusement, les chefs de l’entreprise étaient d’origine allemande et il y avait aussi quelques apprentis d’Allemagne, de sorte que la communication avec l’allemand était également possible dans l’entreprise.
Eh bien, jusqu’au soir, j’ai eu à faire diverses travaux, interrompu par un court déjeuner avec croissants de la boulangerie, croissants un peu comme nos „Kipferl“. Ce n’était pas tout à fait la même chose, mais pendant un petit moment, je me suis senti chez moi dans ce monde étrange.
Veuillez corriger et améliorer mon essai en français s'il vous plait ? La gentillesse, que j’éprouvais ici, me rend heureux, merci. Veuillez moi excuser pour la longueur du texte.
Voici l'histoire de la petite Hermine étrangère à Paris, épisode 11, en cherchant un poste d’apprenti au début du XXe siècle.
Cette première nuit au pensionnat, je dormais comme une pierre. Je me suis réveillé au dortoir, à cause des rires et de plaisanteries des filles près de moi. Tout d'abord, j'ai du me rappeler où j’étais. J'étais en retard, mon beau-père sera me chercher après le petit-déjeuner, pour que je puisse me présenter à mon poste d'apprenti. Je n’étais arrivé au pensionnat que la veille, ce qui devait être pour moi une résidence pendant des années. Mon beau-père était venu d’Allemagne avec moi et avait également réglé les finances.
Un long chemin nous conduisit de Montmartre à un atelier de couture de Bechoff-David-Cie. Ce n’était pas la maison de couture au 7 avenue de l’Opéra, mais les ateliers où ils y avaient des couturières sur des nombreuses machines à coudre. Un des maîtres tailleurs nous a accueilli et a présenté mon contrat d’apprentissage au beau-père. Ensuite, il aura été temps de se séparer définitivement. Mon beau-père avait tout arrangé et était déjà mentalement sur la route quand on m’a présenté au directrice, qui m’a mise un balai, pour je devais ramasser les fils et les goussets de tissu. Adieu beau-père: „Salutations à Vienne et à mes proches!“.
Heureusement, les chefs de l’entreprise étaient d’origine allemande et il y avait aussi quelques apprentis d’Allemagne, de sorte que la communication avec l’allemand était également possible dans l’entreprise.
Eh bien, jusqu’au soir, j’ai eu à faire diverses travaux, interrompu par un court déjeuner avec croissants de la boulangerie, croissants un peu comme nos „Kipferl“. Ce n’était pas tout à fait la même chose, mais pendant un petit moment, je me suis senti chez moi dans ce monde étrange.
Voici l'histoire de la petite Hermine étrangère à Paris, épisode 11, en cherchant un poste d’apprenti au début du XXe siècle.
Cette première nuit au pensionnat, je dormais comme une pierre. Je me suis réveillé au dortoir, à cause des rires et de plaisanteries des filles près de moi. Tout d'abord, j'ai du me rappeler où j’étais. J'étais en retard, mon beau-père sera me chercher après le petit-déjeuner, pour que je puisse me présenter à mon poste d'apprenti. Je n’étais arrivé au pensionnat que la veille, ce qui devait être pour moi une résidence pendant des années. Mon beau-père était venu d’Allemagne avec moi et avait également réglé les finances.
Un long chemin nous conduisit de Montmartre à un atelier de couture de Bechoff-David-Cie. Ce n’était pas la maison de couture au 7 avenue de l’Opéra, mais les ateliers où ils y avaient des couturières sur des nombreuses machines à coudre. Un des maîtres tailleurs nous a accueilli et a présenté mon contrat d’apprentissage au beau-père. Ensuite, il aura été temps de se séparer définitivement. Mon beau-père avait tout arrangé et était déjà mentalement sur la route quand on m’a présenté au directrice, qui m’a mise un balai, pour je devais ramasser les fils et les goussets de tissu. Adieu beau-père: „Salutations à Vienne et à mes proches!“.
Heureusement, les chefs de l’entreprise étaient d’origine allemande et il y avait aussi quelques apprentis d’Allemagne, de sorte que la communication avec l’allemand était également possible dans l’entreprise.
Eh bien, jusqu’au soir, j’ai eu à faire diverses travaux, interrompu par un court déjeuner avec croissants de la boulangerie, croissants un peu comme nos „Kipferl“. Ce n’était pas tout à fait la même chose, mais pendant un petit moment, je me suis senti chez moi dans ce monde étrange.
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- Français (France)
Veuillez corriger et améliorer mon essai en français, s'il vous plait ? La gentillesse que je rencontre ici, me rend heureuse, merci. Veuillez accepter mes excuses pour la longueur du texte.
Voici l'histoire de la petite Hermine étrangère à Paris, épisode 11, cherchant un poste d’apprentie au début du XXe siècle.
Cette première nuit au pensionnat, je dormais comme une pierre. Je me suis réveillée au dortoir, à cause des rires et de plaisanteries des filles près de moi. Tout d'abord, j'ai dû me rappeler où j’étais. J'étais en retard, mon beau-père est venu me chercher après le petit-déjeuner, pour que je puisse me présenter à l’heure à mon poste d'apprentie. Je n’étais arrivé dans ce pensionnat que la veille, pensionnat qui devrait pour moi être une résidence pendant des années. Mon beau-père était venu d’Allemagne avec moi et avait également réglé les frais.
Un long chemin nous conduisit de Montmartre à un atelier de couture de Bechoff-David-Cie. Ce n’était pas la maison de couture au 7, avenue de l’Opéra mais des ateliers où ils y avaient des couturières sur des nombreuses machines à coudre. Un des maîtres tailleurs nous a accueillis et a présenté mon contrat d’apprentissage à mon beau-père. Ensuite, est venu le temps de se séparer définitivement. Mon beau-père avait tout arrangé et dans sa tête, était déjà en route quand on m’a présentée à la directrice, qui m’a mise un balai dans les mains pour je ramasse les fils et les goussets de tissu. Adieu beau-père : "Mes salutations à Vienne et à mes proches !".
Heureusement, les chefs de l’entreprise étaient d’origine allemande et il y avait aussi quelques apprentis venant d’Allemagne, de sorte que la communication avec l’allemand était possible dans l’entreprise.
Eh bien, jusqu’au soir, j’ai eu à faire divers travaux, interrompue par un court déjeuner avec croissants de la boulangerie, croissants un peu comme nos "Kipferl". Ce n’était pas tout à fait la même chose, mais pendant un petit moment, je me suis sentie chez moi dans ce monde étrange.
Utilisateur bien noté
- Français (France)
@Sulaluz Voici l'histoire de la petite Hermine étrangère à Paris, épisode 11, en cherchant un poste d’apprenti au début du XXe siècle.
Cette première nuit au pensionnat, je dormais comme une pierre. Je me suis réveillé au dortoir, à cause des rires et de plaisanteries des filles près de moi. Tout d'abord, j'ai du me rappeler où j’étais. J'étais en retard, mon beau-père sera #(viendra) # me chercher après le petit-déjeuner, pour que je puisse me présenter à mon poste d'apprenti. Je n’étais arrivé au pensionnat que la veille, ce qui devait être pour moi une résidence pendant des années. Mon beau-père était venu d’Allemagne avec moi et avait également réglé les finances.
Un long chemin nous conduisit de Montmartre à un atelier de couture de Bechoff-David-Cie. Ce n’était pas la maison de couture au 7 avenue de l’Opéra, mais les ateliers où ils y avaient des couturières sur des #(de) # nombreuses machines à coudre. Un des maîtres tailleurs nous a accueilli et a présenté mon contrat d’apprentissage au beau-père. Ensuite, il aura été temps de se séparer définitivement. Mon beau-père avait tout arrangé et était déjà mentalement sur la route quand on m’a présenté au #( à la)# directrice, qui m’a mise #(mis) #. un balai, pour je devais#(pour que je puisse) #ramasser les fils et les goussets de tissu. Adieu beau-père: „Salutations à Vienne et à mes proches!“.
Heureusement, les chefs de l’entreprise étaient d’origine allemande et il y avait aussi quelques apprentis d’Allemagne, de sorte que la communication avec l’allemand était également possible dans l’entreprise.
Eh bien, jusqu’au soir, j’ai eu à faire diverses travaux, interrompu par un court déjeuner avec #(des) # croissants de la boulangerie, croissants un peu comme nos „Kipferl“#( qui sont comme nos "kipferl". Ce n’était pas tout à fait la même chose, mais pendant un petit moment, je me suis senti chez moi dans ce monde étrange.
- Allemand
@Djee-LabZ et @ghazwaninadia8 merci, jusque à présent je n’ai pas fini travailler sur les nombreuses informations. Je suis lent, j’avoue. Je veux raconter la vie de ma grand-mère. @ghazwaninadia8 vous ètes rapide avec d'apprendre. Ma devise au contraire: "auch eine Schnecke kommt an ihr Ziel" ;-). Mais il est tellement plus facile de répondre aux questions sur l’allemand.
- Allemand
@Djee-LabZ et @ghazwaninadia8 merci beaucoup à vous deux,
voici mon résumé des corrections:
Veuillez corriger et améliorer mon essai en français, s'il vous plait ? La gentillesse que je rencontre ici, me rend heureuse, merci. Veuillez accepter mes excuses pour la longueur du texte.
Voici l'histoire de la petite Hermine étrangère à Paris, épisode 11, en cherchant un poste d’apprentie au début du XXe siècle.
Cette première nuit au pensionnat, je dormais comme une pierre. Je me suis réveillé au dortoir, à cause des rires et de plaisanteries des filles près de moi. Tout d'abord, j'ai du me rappeler où j’étais. J'étais en retard, mon beau-père viendra me chercher après le petit-déjeuner, pour que je puisse me présenter à l'heure à mon poste d'apprentie. Je n’étais arrivé au pensionnat que la veille, ce pensionnat qui devait pour moi être une résidence pendant des années. Mon beau-père était venu d’Allemagne avec moi et avait également réglé les frais.
Un long chemin nous conduisit de Montmartre à un atelier de couture de Bechoff-David-Cie. Ce n’était pas la maison de couture au 7 avenue de l’Opéra, mais les ateliers où ils y avaient des couturières sur de nombreuses machines à coudre. Un des maîtres tailleurs nous a accueillis et a présenté mon contrat d’apprentissage à mon beau-père. Ensuite, est venu le temps de se séparer définitivement. Mon beau-père avait tout arrangé et dans sa tête, était déjà en route, quand on m’a présentée à la directrice, qui m’a mise un balai dans les mains, pour que je puisse ramasser les fils et les goussets de tissu. Adieu beau-père: „Mes salutations à Vienne et à mes proches!“.
Heureusement, les chefs de l’entreprise étaient d’origine allemande et il y avait aussi quelques apprentis venant d’Allemagne, de sorte que la communication avec l’allemand était possible dans l’entreprise.
Eh bien, jusqu’au soir, j’ai eu à faire divers travaux, interrompue par un court déjeuner avec des croissants de la boulangerie, croissants un peu comme nos „Kipferl“. Ce n’était pas tout à fait la même chose, mais pendant un petit moment, je me suis sentie chez moi dans ce monde étrange.
voici mon résumé des corrections:
Veuillez corriger et améliorer mon essai en français, s'il vous plait ? La gentillesse que je rencontre ici, me rend heureuse, merci. Veuillez accepter mes excuses pour la longueur du texte.
Voici l'histoire de la petite Hermine étrangère à Paris, épisode 11, en cherchant un poste d’apprentie au début du XXe siècle.
Cette première nuit au pensionnat, je dormais comme une pierre. Je me suis réveillé au dortoir, à cause des rires et de plaisanteries des filles près de moi. Tout d'abord, j'ai du me rappeler où j’étais. J'étais en retard, mon beau-père viendra me chercher après le petit-déjeuner, pour que je puisse me présenter à l'heure à mon poste d'apprentie. Je n’étais arrivé au pensionnat que la veille, ce pensionnat qui devait pour moi être une résidence pendant des années. Mon beau-père était venu d’Allemagne avec moi et avait également réglé les frais.
Un long chemin nous conduisit de Montmartre à un atelier de couture de Bechoff-David-Cie. Ce n’était pas la maison de couture au 7 avenue de l’Opéra, mais les ateliers où ils y avaient des couturières sur de nombreuses machines à coudre. Un des maîtres tailleurs nous a accueillis et a présenté mon contrat d’apprentissage à mon beau-père. Ensuite, est venu le temps de se séparer définitivement. Mon beau-père avait tout arrangé et dans sa tête, était déjà en route, quand on m’a présentée à la directrice, qui m’a mise un balai dans les mains, pour que je puisse ramasser les fils et les goussets de tissu. Adieu beau-père: „Mes salutations à Vienne et à mes proches!“.
Heureusement, les chefs de l’entreprise étaient d’origine allemande et il y avait aussi quelques apprentis venant d’Allemagne, de sorte que la communication avec l’allemand était possible dans l’entreprise.
Eh bien, jusqu’au soir, j’ai eu à faire divers travaux, interrompue par un court déjeuner avec des croissants de la boulangerie, croissants un peu comme nos „Kipferl“. Ce n’était pas tout à fait la même chose, mais pendant un petit moment, je me suis sentie chez moi dans ce monde étrange.

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